Pequena Limon - Quartier Général des Epicueros

Partisans d'une survie d’épicuriens, les Epicueros vivent sur des bateaux à Pequena Limon, l'ancien port Puerto Limon, en se tenant à l'écart alors des terres et des zombies. Face à la montée du virus, certains ont choisi de vivre la vie pleinement pour se sentir toujours plus vivants. Les Epicueros font partie de ces survivants qui consacrent les derniers instants de leurs existences aux plaisirs simples ou complexes de la vie. Ils cherchent constamment l’oisiveté sous toutes ses formes, et parfois, jusqu’à l’extrême. Les Epicueros ont bâti sur cette philosophie de vie épicurienne, toute une communauté le long des côtes de la paradisiaque Mer des Caraïbes au Nord du Costa Rica.





Arènes de paris et de jeux.

Le Quartier Général des Epicueroes est un paquebot de croisière sur lequel ils ont planté leur citronnier.

Ils ont aussi des baraquements, dont un hôtel de luxe (avec un bar, avec espace de jeux, d'arcades, tables de cartes, billards, etc.) dans l'ancienne ville de Porto Limon, qui sert aux intrus de QG écran, de faux QG.

Ils ont aussi des baraquements en nombre limités plus ou moins importants sur chaque plantation de drogues proportionnellement à la plantation.  

C’est autant le temple du plaisir qu’un centre d’organisation en cas de fortes crises. En pleine zone portuaire, ce QG, véritable station balnéaire apocalyptique, est proche des bateaux que possèdent cette communauté.


Les Epicueros bénéficient d'une zone tropicale qui ralentit la progression des zombies. Le rêve ? Presque ! Avides de sensations, les Epicueros, avec ambition hédoniste, investissent aussi les côtes de leurs oisivetés et gèrent des plantations de drogues qui ne sont pas s'en attirer des zombies et humains.

Hors de portée des zombies sur leurs bateaux, ils restent conscient que ces derniers peuvent marcher dans les profondeurs des eaux. Les Epicueros ont ainsi appris à devenir de bons navigateurs, et peuvent partir au large et éviter ainsi les assauts zombies à condition qu'ils veillent bien sur leurs ancrages. Certains bateaux ont encore des sonnas et mêmes pour certains des GPS. Ils peuvent, tout le long de la côte Nord de la Mer des Caraïbes, accoster sur des terres. Ils peuvent, avec des bateaux de petites tailles, remonter aussi des fleuves. Certains connaissent ainsi très bien le réseau fluvial qu'ils vont privilégier même à l'intérieur des terres. Le procédé n'est pas toujours discret alors, mais certains Epicueros sont des têtes brûlées, et cela leur corresponde.      




bateaux et des fourgons (pour leurs trafics en tout genre, drogues et autres)

Ils possèdent des bateaux et un bateau de croisière sur lequel ils festoient plus que de raison.

Ils ont des affaires de plongée en quantité très limitée.




Les épicueroes n’ont pas le sens des priorités et notamment en ce qui concerne les ressources.

C'est le point délicat. Les Epicueros sont tellement dans l'oisiveté que parfois ils oublient l'essentiel. Ils sont meilleurs dans la gestion de leurs stocks de drogues que de vivres. Éloignés sur des bateaux, ils sont pourtant très dépendant du ravitaillement. Ils procèdent par raids mais ne sont pas les meilleurs raideurs du Costa Rica. Loin de là. Ils sont tentés alors à voler, à pirater, des humains. Aussi, ils se rapprochent des pirates des cultures passées. Ils sont très doués dans la gestion logistique de marchandises en tout genre et dans l’organisation de trafic.

Ils ont à leur disposition de la coca, qu'ils cultivent et transforment, et qu'ils remontent de leurs plantations, ce qui leur permet de couper l'appétit en cas de besoin et de s’exciter et d'éveiller leurs sens, voire de calmer les douleurs et d'interrompre la fatigue, mais il y a aussi des effets très négatifs à cette drogue : hallucinations, délires, spasmes, épilepsies, dérèglements sanguins et cardiaques, crampes, hyperthermie, trouble de l'odorat (si de la cocaïne prise par le nez), troubles de l'humeur, paranoïa, agressivité, dépendance à la substance, etc. D'autant plus que, ses effets positifs sont temporaires.

Ils peuvent mâcher des feuilles de coca ou consommer de la coca transformée et donc de la cocaïne. La cocaïne est transformée sur des bateaux. Elle n'est pas transformée sur les plantations. C'est encore trop risqué. La pratique réclame un laboratoire et du calme. Ainsi, ils ont toute une organisation pour livrer les feuilles sur Pequena Limon, depuis leurs différentes plantations.    

Fort heureusement, les Epicurios bénéficent des meilleurs spots de pêche du Costa Rica.Ils ont un arsenal de pêche développé (lances, harpons, etc.) et confectionnent des filets. Ils ont ausis des bateaux à harpons et certains disposent même de cages (touristiques à l'origine pour les requins). Cependant, ils doivent prendre garde à ne pas remonter des zombies dans leurs filets et bien du poisson ! Certains se consacrent à la pêche à pied sur le long de la côte, et, de même, ils doivent prendre garde aux zombies. Le poisson commence à les lasser même si, pourtant, elle reste une nourriture riche.
        




Leur organisation, assez anarchique, est en chaos perpétuel. Ils ont pourtant réussi à avoir un clan, un groupe, avec une entraide entre eux. Leurs activités ne se cantonnent pas qu’à la province de Limon. Toujours en recherche de ressources procurant du plaisir, ils ont réussi à faire pousser des plantations de drogues dont certaines s’étendent jusque dans des provinces voisines.

Il est très difficile d’avoir une autorité dans le groupe, mais certains y parviennent dans le souci de préserver le clan. Ils doivent se gérer par eux même et s’ils meurent, eh bien que ce soit au moins après avoir bien vécu son existence !

Les Epicueros sont plus complexes qu’ils en ont l’air : responsables de leurs propres vies et irresponsables en même temps dans leurs attitudes.

Pour les plus drogués, ils ont des difficultés à gérer leurs accoutumances en cas de mauvaises récoltes. En rumeurs internes, on évoque que certaines dominent d’autres par la drogue dans l’ombre.

Ils protègent les abords de leur port, peu fortifiée, mais bénéficiant d'un relief côtier tropical intéressant,

et leurs plantations, ayant quelques armes à feu.

En cas de fortes alertes, ils peuvent se réfugier sur leurs bateaux. Ils ont conscience que l’eau n’arrête pas les zombies mais ils s’y sentent plus à même de mieux se défendre en ayant l’ascendant sur eux.

Ces survivant n’ont pas tous les mêmes limites : certains sont très habitués à l’extrême plus que d’autres et sont alors peu sensibles aux valeurs morales. Certains ainsi ne sont pas choqués plus que cela par le cannibalisme par exemple et peuvent même le pratiquer eux-mêmes pour la survie.

Tout le monde ne se drogue pas. Ce n'est pas obligatoire. C'est en revanche un peu mal vu. Disons qu'il faut s'amuser un minimum pour faire partie des Epicueros. C'est en tout cas assez mal vu de se montrer un peu dépressif. De plus, il est assez inévitable de ne pas s'être drogué au moins une fois, étant donné que la drogue est utilisée pour palier au manque de vivre (comme coupe faim) et pour des traitements médicaux (pour alléger fatigue et souffrances). C'est un peu la morphine locale.

On prétend ainsi que tous les Epicurios ont été au moins drogué une fois - même à leur insu - tellement cela fait partie de leur quotidien.

On raconte que certains profitent de la drogue pour imposer un peu ses petites lois et façon de faire. Il peut y avoir des conflits et des luttes de pouvoir en interne. Qui ne rêverait pas de devenir le chef de tout ce bordel euphorique ?

Chaque Epicurios partage cette culture de l'oisiveté qui est un socle commun très puissant et rassembleur. Cependant, des micro-cultures peuvent apparaître au sein du groupe. Par exemple, on note de légères variantes de mœurs entre ceux qui vivent à Pequena Limon sur la côte, survivants sur la mer, et ceux qui trafiquent le long de la côté jusqu'aux régions voisines, survivants un peu plus dans les terres.

Hiérarchie ?

Entre mafieuse et pirate ou encore cartel, la hiérarchie des Epicurios est plus complexe qu'on pourrait s'y attendre de prime abord à cause essentiellement de sa nature informelle. Cette communauté, qui sollicite beaucoup l'autonomie de chacun, présente tout de même une hiérarchie et des instances de contrôle. Elle est parsemée de chefs de trafics, de chefs de plantations, etc. qui forment une pègre, et chaque plantation à s’organise par elle-même, la condition étant de mener à bien ses livraisons jusqu'au QG pour que l'ensemble de la communauté en bénéficie. Ces livraisons sont contrôlées par le QG et des points de conflits sont alors envisageables car le QG n'a pas toujours une vision réaliste sur les résultats imposés et peut même être amené à trop demander aux trafiquants. A l'inverse, les trafiquants peuvent être tenté pour X ou Y raisons de se laisser aller, de consommer la marchandise pour eux-mêmes, etc. etc.  

Le tout (et d'autant plus Piquena Limon) est commandé par un grand manitou, un ou une capitaine, qui siège sur le paquebot et qui veille au grain pour ne pas avoir affaire à une mutinerie. Car, dès que le climat ne parait plus clément pour plusieurs, ces derniers auront tendance à tenter de renverser le pouvoir, et à remplacer alors le capitaine par un autre, en général, celui qui a mené la mutinerie. Cette pratique a déjà eu lieue. De plus, la tendance est grande pour les chefs de trafiquants de prendre leurs autonomies, même si reste très difficile car Pequena Limon est le seul QG qui donne accès à des bateaux et la possibilité alors de se tenir hors de protée des zombies. Le QG offre par ailleurs une petite escale paradisiaque permettant de se relâcher de la survie et des zombies ce qui n'a pas de prix. Aussi, pour l'heure, le cartel n'a connu aucune cession, et tous les trafiquants sont restés affiliés à Pequena Limon. De plus Pequena Limon est la plateforme commerciale des trafiquants. C'est à Pequena Limon que l'on échange, qu'on troque des vivres, chacun ramenant des ressources mais manquant d'autres ressources. Sans l'accès à ce lieu, le troc est impossible. Il est ainsi très difficile d'envisager une cession mais pas impossible.     


#tressage #navigation #pêche #trafic/logique  
 



Ceux qui ont fait partie des premiers épuciriens sont naturellement restés épicuriens sauf si'ls ont rencontré la mort entre deux. Il est assez difficile de quitter le groupe. Les Epicurios; à cause de la drogue, sont trop paranoïaques pour laisser partir un membre qui aurait tout vu de leur organisation. Mais, ce n'est pas impossible, si le survivant quitte le large sans prévenir ou autre.

Les rejoindre n'est pas toujours délicat. Ils sont assez imprévisibles dans leurs attitudes. Mais, globalement, parrainé par un Epucrios, les chsoes devraient bien se passer. Il faut se montrer un minimum réceptif à la philosophie des Ecipucrios pour espérer les rejoindre. On annonce bien la couleur au nouveau : pas de retour en arrière possible. Rejoindre les Epucrrios, c'est un peu comme le mariage, c'est pour le meilleur et pour le pire jusqu'à la mort. Mais bon. Peut-être disent-ils cela pour rigoler et sous l'effet de la drogue. Qui sait !  




Dans la Mer des Caraïbes, on y trouve des zombies. Il y a encore aussi des requins. Quelqu'un pose problème ? C'est assez simple. On le jette par dessus bord.  

Un problème dans les plantations ? pas de problèmes. On le fusille s'il pose vraiment problème. S'il a un petit coup de mou, on lui propose une petite feuille de coca. Au besoin, les Epicuros s'y connaissent bien dans la torture.  




Les Epicuros ont des armes et des minutions en quantités limités. Ils ont eu la chance d'en trouver dans des petits camps militaires datant des tentatives de répression de l'invasion zombie. Il est à prévoir de nouveaux raids à l'avenir.  

Ces pêcheurs sont bons dans la confection de cordages et ainsi des pièges à base de cordages. Ils ont aussi de l'alcool et des cocktails Molotov en quantité limité car l'alcool est limité est de plus bagarré en tant que ressource de plaisir autant que d'armement. Il y a des conflits potentiels sur cet arbitrage.

Certains connaissent bien l’art de la torture.




Par la passé, la ville de Limon tenait son nom de la plantation d'un citronnier, un arbre fruitier rare au Costa Rica. Ce citronnier n'a pas survécu. Cependant, des pionniers, futurs Epicueros, ont mené une expédition et en ont trouvé un à Heredia, non sans rencontrer d'autres survivants. C'est ainsi que ce sont connus les pionniers Epicueros et Salvadores. Très opposés, mais les deux groupes cherchant des arbres fruitiers, les Epicueros ont tenus et ont réussi à obtenir leur citronnier. Ils ont planté ce dernier sur un paquebot de croisière, qui est devenu leur Quartier Général, désireux de le garder partout avec eux, qu'importe où la mer les mèneront. Ce citronnier représente un espoir, et la façon dont ils voient la vie, à la fois fruitée et amère - éphémère. Les Epicueros y prennent bien soin.  
  


(...)